« Je pense à une amie peintre devenue incapable de peindre à la mort de son mari.
« Qu’y a-t-il à peindre ? » – disait-elle alors.
Sa toile demeurait vierge et blanche.
Et puis un jour, d’une touche de peinture, elle fit une marque sur sa toile et à partir de cette minuscule conquête de l’espace disponible, elle s’est remise à peindre ».
Martha Graham (1894/1991)